Articles d'actualités sur la biométrie
Pour vous tenir informer des nouveautés et tendances du marché de la biométrie. Nouvelles technologie, nouvelles applications...
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Regarder une image pour s'identifier
Des chercheurs viennent de mettre au point un nouveau système d’identification qui utilise les ondes cérébrales.
L’équipe de chercheurs de l’Université de Binghamton aux Etats-Unis a réalisé des tests sur une cinquantaine de personnes à l’aide d’un casque encéphalogramme. Ils ont montré à celles-ci 500 mots et images et ont analysé les réponses cérébrales de chaque participant. Il s’est avéré que ces réponses sont propres à chaque personne et qu’un système informatique était ensuite capable, en fonction des différentes ondes cérébrales, de deviner avec 100% de précision qui avait répondu. Parmi les images proposées on pouvait aussi bien retrouver une tranche de pizza, qu’un bateau ou encore une célébrité.
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La biométrie contre le vol de données
Alors que les vols de mots de passe atteignent des niveaux records, avec 500 millions de mots de passe Yahoo dans la nature, la biométrie semble s'imposer comme un moyen de les contrer et apporter un peu plus de sécurité.
Y-a-t-il un effet Apple ou une simple appropriation par le grand public ? S’il y a quelques années, la biométrie faisait peur, celle-ci est aujourd'hui bien mieux acceptée par le grand public. Le passeport biométrique déclenchait, il y a dix ans, la polémique. Plus aujourd'hui ! Cet été, Visa publiait une étude réalisée auprès des consommateurs européens. Les deux tiers ont déclaré être prêts à utiliser une identification biométrique pour sécuriser un paiement. Pour les trois quarts des personnes interrogées, une identification à deux facteurs qui allie outil de paiement et biométrie est un bon moyen de sécuriser une transaction.
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Une formation dans le domaine de la biométrie
Accéder à son smartphone grâce à son empreinte digitale, entrer dans son entreprise par un terminal de reconnaissance faciale, voyager grâce à son identité biométrique... les technologies biométriques, quotidien des polices scientifiques, régissent peu à peu nos actes de tous les jours.
La biométrie est-elle un outil pour la cybersécurité ? Où sont mes données ? Qui peut y accéder ? Quels sont mes droits ? Reconnaissant un manque criant de cours dans un domaine aux enjeux majeurs, la Formation universitaire à distance (UniDistance) et le centre de recherche Idiap, basés à Brigue et à Martigny, proposent une formation continue en biométrie à distance dès avril 2017.
Une formation unique par la forme et le contenu, reconnue en Suisse et en Europe
Le Certificate of Advanced Studies Biometrics and Privacy (CAS Biometrics & Privacy) est unique. Pour la première fois, une telle formation aborde l'ensemble des aspects liés à la biométrie: technologies et normes biométriques, sécurité et protection de la vie privée, sciences crimi-nelles, aspects légaux et protection des données, éthique, culture et société.
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La biométrie : pour le meilleur ou pour le pire
Ce serait aujourd'hui l’une des solutions les plus prometteuses pour nous protéger de la menace terroriste.
La biométrie permet d’identifier une personne à partir de ses caractéristiques biologiques comme l’empreinte digitale, l’iris ou le visage.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les solutions technologiques progressent vite : logiciel de reconnaissance faciale, « empreinte cérébrale », système de contrôle automatique de foules en mouvement...
Mais peut-on vraiment faire confiance à la biométrie pour notre sécurité ? Et surtout qu’arrivera-t-il si ces données tombent entre de mauvaises mains ?
Source : Arte - Émission du 8 octobre 2016
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Biométrie - Nouvelles règles de la CNIL
un nouveau cadre pour le contrôle d’accès biométrique sur les lieux de travail
La CNIL fait évoluer sa doctrine pour mieux prendre en compte les évolutions techniques et limiter les risques pour la vie privée générés par les dispositifs biométriques au travail.
Jusqu’à présent, la doctrine de la CNIL en matière de biométrie élaborée à partir de 2006 se basait sur la distinction entre des caractéristiques biométrique dites « à traces » et « sans traces ». En fonction du type de biométrie utilisé, des exigences plus ou moins fortes s’appliquaient aux dispositifs mis en œuvre.
Mais le perfectionnement des outils de captation accessibles à bas coût, permettant de collecter les images du visage, de la voix et même du réseau veineux, a conduit la CNIL a constater que désormais, toutes les biométries doivent être considérées comme laissant des traces sur le passage des personnes. La distinction « traces » / « sans traces » n’est donc plus pertinente contrairement à celle reposant sur le type de stockage (dispositifs biométriques permettant aux personnes de garder la maîtrise de leur gabarit biométrique ou non).
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Safran vend sa filiale biométrie à Oberthur
Safran a finalement choisi le fonds Advent, propriétaire d’Oberthur Technologies, pour lui céder Safran Identity & Security (ex-Morpho), le spécialiste de la biométrie et de la sécurité.
Le prix d’environ 2,4 milliards d’euros témoigne de la férocité de la compétition pour reprendre cette pépite technologique française. L’offre d’Advent a été préférée en bout de course par le conseil d’administration du motoriste réuni jeudi 29 septembre, à celle de Gemalto, le leader mondial de la carte à puces.
Les deux rivaux, qui avaient offert un prix quasi-similaire, ont mené une campagne intense auprès des pouvoirs publics ces derniers jours afin de l’emporter. Le gouvernement, en effet, soucieux d’éviter une nouvelle affaire Alstom avait demandé aux candidats de s’engager sur le maintien de l’emploi et des sites de production en France. Les syndicats étaient d’ailleurs divisés, la CFDT soutenant Advent-Oberthur et CFE-CGC et FO penchant pour Gemalto.
De même, les candidats ont dû donner des garanties sur la préservation des intérêts français, Morpho ayant des activités en lien avec la sécurité nationale. Advent avait d’ailleurs adressé une lettre de 8 pages à Bercy promettant notamment de conserver dans une entité française la propriété intellectuelle des technologies développées par la filiale de Safran.
Safran I&S emploie 7 800 personnes dans 50 pays et a réalisé un chiffre d'affaires de 1,6 milliard d’euros en 2015.