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Articles d'actualités sur la biométrie
Pour vous tenir informer des nouveautés et tendances du marché de la biométrie. Nouvelles technologie, nouvelles applications...
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Google, Apple et Microsoft proposent d'en finir avec les mots de passe d’ici douze mois
Les smartphones conserveront ces identifiants codés, baptisés « passkey » qu’il s’agisse d’une empreinte digitale ou d’un code de plusieurs chiffres.
Une empreinte digitale, par exemple, pourrait servir de clé d'accès pour s'identifier. (Illustration) AFP/Gleen CHAPMAN.
Selon un rapport du spécialiste de la cybersécurité Verizon, dans 80 % des cas, le piratage d'un compte provient d'un mot de passe faible et facile à trouver. Il y a bien les gestionnaires de mots de passe qui permettent de renforcer la sécurité en mémorisant des mots de passe complexes, mais impossibles à retenir.
C’était ce jeudi la journée internationale du mot passe (#WorldPasswordDay), vous l’ignoriez sans doute. Mais ce 5 mai, Google, Apple et Microsoft ont annoncé la fin d’un calvaire. D’ici un an, un système commun devrait permettre de s’authentifier sans avoir à mémoriser des séries de signes cabalistiques pour accéder à ses courriels, comptes bancaires ou ouvrir des appli. Depuis 2012 des acteurs du secteur planchent sur le sujet.
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France - Une nouvelle application d'identité numérique
Le gouvernement prépare sa nouvelle application d'identité numérique
La nouvelle carte d'identité biométrique. - Ministère de l'Intérieur
L'exécutif veut offrir une application qui pourrait être utilisée pour accéder à des services publics comme privés. Elle s'appuie sur la nouvelle carte d'identité numérique.
Le décret a été publié le 26 avril, Jean Castex et Gérald Darmanin ont signé un texte autorisant la création d'un nouveau système baptisé Service de garantie de l'identité numérique (SGIN).
Le but: créer une application mobile pour scanner les informations de la nouvelle carte d'identité biométrique afin de les utiliser pour se connecter à des services publics ou privés.
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Test de systèmes de reconnaissance faciale - Thèse à l’UNIL
Maëlig Jacquet s’est lancé le défi de tester différents systèmes de reconnaissance faciale lors de sa thèse à l’UNIL obtenue en décembre 2021. Elle a mis en lumière leurs performances et leurs enjeux, un sujet épineux qui relève d’intelligence artificielle autant que d’éthique.
Lorsque l’unique preuve d’un crime est une vidéo de caméra de surveillance et qu’un logiciel de reconnaissance faciale accuse une personne, cela suffit-il pour l’incarcérer ? C’est ce qui s’était passé en 2019, à la suite de quoi l’avocat de la défense avait rétorqué au micro du journal Le Progrès : « Les juges ne sont là que pour avaliser les accusations numériques qui sont réalisées par un algorithme dont nous ignorons absolument tout. » Où en est-on aujourd’hui, faut-il se méfier des résultats de cette intelligence artificielle ?
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Reconnaissance faciale - Cédric O au Sénat
Auditionné par la mission d’information sur la reconnaissance faciale, Cédric O renvoie le débat à la prochaine législature, faute d’avoir mené les expérimentations durant le quinquennat. « C’est un sujet hautement inflammable », rappelle-t-il.
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Des paiements par reconnaissance faciale à l'essai lors de grands événements
Les événements en présentiel sont enfin de retour, et avec une technologie surprenante. L'un des plus grands producteurs de spectacles au monde, ASM Global, adopte le paiement par reconnaissance faciale dans certains de ses plus grands sites.
Ce déploiement s'inscrit dans le cadre d'un partenariat entre ASM et le fournisseur de technologie PopID. L'objectif est de tirer parti de la vérification faciale avancée dans les stades et les théâtres du monde entier. Et ce, malgré le scepticisme qui règne dans le monde entier quant à l'utilisation de l'identification biométrique, et de la reconnaissance faciale en particulier, qui alimente la surveillance de masse.
PopID a profité du regain d'intérêt pour les paiements sans contact pendant la pandémie pour se positionner comme l'un des principaux fournisseurs de reconnaissance faciale pour le commerce. Il y a environ un an, nous avons couvert le partenariat conçu pour la pandémie de la société avec le vendeur de pizzas robotisées Piestro.
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Biométrie - Les Français au doigt et à l’œil
Les films de science-fiction regorgent de scène où les héros franchissent des portes ou accèdent à des documents en scannant ici leur main, là leur iris. Ces technologies biométriques, ces « Sésame ouvre-toi » modernes, ne sont pourtant pas de la science-fiction. Elles sont entrées dans notre quotidien pour allumer un ordinateur, déverrouiller un smartphone ou payer chez un commerçant. Les capteurs d’empreintes digitales ou la reconnaissance du visage ont été popularisés par les géants du numérique, Microsoft, Apple et ses iPhone ou encore BNP Paribas qui a récemment lancé sa carte bancaire avec lecteur d’empreintes.
Une étude réalisée par Capterra, une plateforme en ligne de comparaison de logiciels professionnels, et publiée ce mois-ci montre d’ailleurs que les Français ont adopté ces technologies. Si 38 % n’en utilisent aucune, 47 % des consommateurs interrogés déclarent utiliser régulièrement la lecture d’empreinte digitale, 29 % le scan du visage (comme pour les derniers iPhone ou les PC avec Windows Hello). De façon plus rare, les Français utilisent le scan de la voix (10 %), de la main (10 %), de l’iris (7 %) ou des veines (2 %).
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Une application permet de détecter plus de 300 maladies en scannant le visage
La technologie de reconnaissance faciale surprend de plus en plus avec une percée également dans le domaine médical.
Selon un article publié sur le site Wired, l’application Face2Gene est capable de reconnaître plus de 300 maladies simplement en scannant le visage d’un malade. Grâce à une mise à jour, incorporant un nouvel algorithme, plus de 800 maladies supplémentaires sont répertoriées.
Comment ? Moti Shniberg, l’ingénieur à l’origine de l’application, a remarqué que les médecins peuvent se baser sur l’apparence d’un visage d’enfant pour déceler une maladie rare. Car ces pathologies peuvent laisser des indices sur les visages des bambins.
Ce spécialiste de la reconnaissance faciale, développe avec sa start-up FDNA un algorithme d’apprentissage automatique, dont le premier aboutissement est la mise en circulation de Face2Gene en 2014. Pour ce faire, il se base sur l’expérience de sa précédente start-up vendue à Facebook en 2012.
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L'authentification sans mot de passe
L'avenir des identités numériques
Dans un monde en pleine digitalisation, la sécurité de nos identités numériques n'a jamais été aussi importante. Le point sur quelques bonnes pratiques.
Plus notre monde se digitalise, plus nos mots de passe se multiplient au travail ou dans notre vie personnelle. Et cela peut créer de la confusion. Parallèlement, les entreprises ont du mal à intégrer et à adapter leurs solutions d'authentification aux différents niveaux de sécurité. Ainsi, la question suivante se pose : les mots de passe sont-ils vraiment la forme d'authentification la plus sûre et la plus simple à utiliser ?
L’année dernière, la majorité des violations de données d'entreprise étaient dues au vol d’identifiants. L’une des conséquences majeures pour les entreprises est la perte de clients.
Avec un nombre de comptes et services numériques en constante croissance, il n’est pas surprenant que la majorité des utilisateurs ait tendance à utiliser des mots de passe répétitifs ou faciles à deviner. En fait, le mot de passe "123456" est encore utilisé par 103 millions de comptes sur internet. Cela prouve que les mots de passe sont de toute évidence un moyen insuffisant de gestion des accès physique et logique. À l'ère de l'intégration de l'IoT, l'authentification doit absolument devenir plus sophistiquée, connectée et pratique.
Avec l'augmentation du télétravail due à la pandémie de Covid-19 et une quantité considérable de données et d’applications désormais hébergée sur le cloud, la sécurité de nos identités numériques (IDN) n'a jamais été aussi importante.