Articles d'actualités sur la biométrie
Pour vous tenir informer des nouveautés et tendances du marché de la biométrie. Nouvelles technologie, nouvelles applications...
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La biométrie française et européenne
Des systèmes capables d’effectuer un million de recherches multi-biométriques par jour, des cartes bancaires à lecteur d’empreintes digitales, des processus d’inscription par vérification d’identité à distance sur smartphone, des capteurs biométriques organiques… la R&D française et européenne propulse la biométrique sur les marchés mondiaux.
Après avoir esquissé les contours de la biométrie comportementale, Infoprotection.fr décrypte des nouvelles voies de la biométrie française et européenne. Au menu : des applications dans le contrôle aux frontières et les enquêtes policières, la carte bancaire, la dématérialisation de la carte Sesam-Vital et l’intensification du smartphone comme capteur biométrique.
Le systèmee d’Idemia pour Interpol est capable d’effectuer un million de recherches multi-biométriques par jour. © Idemia
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Microsoft élabore un score d'anxiété des employés via la biométrie
La firme de Redmond a publié un brevet qui décrit une fonction qui génère un "score d'anxiété" de l'employé sur la base de données biométriques, suggérant le moment où les travailleurs ont besoin de faire une pause. Microsoft devra encadrer l'usage d'un tel outil touchant à des données sensibles.
A la poursuite du bien-être des employés, Micosoft a déposé un brevet sur une fonction de recommandation pour les employés . Elle utilise des données biométriques pour détecter le niveau de stress d'un travailleur lorsqu'il effectue des tâches telles que l'envoi d'e-mails. L'objectif est de l'encourager à faire une pause quand le niveau de stress est élevé.
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Biométrie comportementale
Avec force intelligence artificielle, la biométrie comportementale tente de s’imposer dans la vérification de l’identité des utilisateurs des services en ligne. Point fort, elle mesure en continu la façon d’utiliser une machine (PC, smartphone, tablette). Le tout sans mot de passe ni empreintes digitales ni reconnaissance faciale. Reste que ces technologies sont généralement employées sans l’acquiescement des utilisateurs.
Vous travaillez à distance. Vous vous connectez au système d’information de votre entreprise. Vous consultez l’application de votre banque ou celle de votre organisation… À chaque fois, vous devez saisir pléthore de mots de passe ou autres codes PIN pour vous authentifier. Bonne nouvelle : ce scenario pourrait bientôt prendre fin grâce à la biométrie comportementale. Du moins, c’est ce que promettent les startups de ce secteur. « Au lieu d’essayer de vous authentifier par le visage, les empreintes digitales ou la voix, la biométrie comportementale utilise des algorithmes qui analysent votre manière de marcher, la gestuelle de votre signature ou votre mode d’interaction avec un ordinateur, un smartphone ou une tablette », explique Bernadette Dorizzi, professeur émérite à Télécom SudParis.
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Le Comité européen de la protection des données veut faire interdire la reconnaissance faciale
Le Comité européen de la protection des données défend une approche plus stricte que celle de la Commission européenne. Il sera pourtant chargé d'appliquer le texte dévoilé la semaine dernière mais toujours en discussion.
C'est un premier avertissement de taille adressé à la Commission européenne et son projet de règlement encadrant les usages à risque de l'intelligence artificielle. S'il a applaudi la naissance de ce texte ce week-end, le Comité européen de la protection des données (CEPD) - l'autorité des CNIL européennes - a surtout regretté qu'il n'interdise pas complètement les très sensibles technologies d'identification biométrique à distance, notamment la reconnaissance faciale à la volée (c'est-à-dire via la vidéosurveillance).
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IDEMIA et INTERPOL consolident leur partenariat pour la mise en place d’un tout nouveau système multi-biométrique
- IDEMIA, le leader mondial de l’Identité Augmentée, et INTERPOL, principale organisation de police dans le monde, renforcent leur partenariat après plus de 20 ans de collaboration.
- Grâce à MBIS, son système d’identification multi-biométrique de dernière génération, IDEMIA va fournir un système de reconnaissance faciale et d’empreintes digitales capable d’identifier instantanément des suspects dans des affaires criminelles, dans le cadre d’enquêtes policières ou de contrôles aux frontières.
COURBEVOIE, France--(BUSINESS WIRE)--Suite au renouvellement d’un contrat existant, IDEMIA fournira à INTERPOL un nouveau système d’identification aux capacités renforcées, doté d’une reconnaissance plus précise et d’interfaces plus conviviales. Conçu et déployé pour que les fonctionnaires de police des États membres d’INTERPOL puissent effectuer autant de recherches et d’analyses que nécessaire, MBIS, la toute dernière technologie biométrique d’IDEMIA, permettra ainsi de réaliser quotidiennement jusqu’à un million de recherches en matière d’empreintes digitales, d’empreintes palmaires et de reconnaissance faciale, ce qui en fait le système d’identification biométrique automatisé le plus performant du marché pour la police scientifique.
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Le paiement biométrique s’installe en France mais comporte des risques
Avant la pandémie, le paiement sans contact en France ne représentait que 3 % des règlements par carte. En 2020, la moitié des paiements par carte ont été effectués avec le sans contact, mentionne Harold Li, de ExpressVPN.
La pandémie a accéléré l’usage du paiement sans contact en France. Avant celle-ci, ce mode de paiement ne représentait que 3% des règlements par carte(1). Avec la hausse du plafond de paiement, passé de 30 à 50 euros, ce sont, au total en 2020, la moitié des paiements par carte qui ont été effectués avec le sans contact.
Au même moment, les banques comme BNP Paribas commencent à proposer des cartes de paiements biométriques à leurs consommateurs, pour accélérer l’adoption de cette nouvelle technologie.
Cela peut être considéré comme la première étape vers la mise en place d'autres moyens de paiement biométriques, telles que la reconnaissance faciale. C'est déjà une réalité en Chine depuis plusieurs années, où par exemple, les clients peuvent utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour payer leurs repas dans certains fast-foods.