Articles d'actualités sur la biométrie
Pour vous tenir informer des nouveautés et tendances du marché de la biométrie. Nouvelles technologie, nouvelles applications...
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Les empreintes digitales et la génétique
Le rôle du gène EVI-1
Les gènes de développement des membres auraient une influence sur la variation des modèles d'empreintes digitales humaines.
Une équipe chinoise a rassemblé toutes les études qui existaient sur le sujet : les génomes et les empreintes de doigts de 23 000 personnes. Ils ont trouvé 43 régions de l’ADN qui codent la forme des empreintes. Et en particulier le gène EVI-1, qui commande aussi le développement de nos membres. (lien vers la publication en janvier 2022 – Article en PDF).
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L’authentification à deux facteurs
La cybersécurité ressemble parfois à un jeu sans fin du chat et de la souris, avec des pirates et des entreprises se battant pour accéder à vos systèmes d’entreprise et aux données sensibles que vous stockez, y compris les informations d’identité et les mots de passe de vos utilisateurs. Des applications bancaires en ligne aux dossiers scolaires numérisés, de plus en plus d’entreprises sécurisent les accès en mettant en œuvre une authentification à deux facteurs des utilisateurs au lieu de s’appuyer sur un simple mot de passe.
Qu’est-ce que l’authentification à deux facteurs ?
L’authentification à deux facteurs (2FA) fait référence à la double vérification de l’identité d’un utilisateur au moment de sa connexion, qui implique deux étapes uniques au cours desquelles un utilisateur saisit ses identifiants. Elle peut être mentionnée sous le nom d’authentification à deux facteurs ou d’ajout d’un code de vérification. Elle ajoute une couche de sécurité supplémentaire pour protéger le compte d’un utilisateur contre les pirates qui peuvent avoir deviné son mot de passe ou avoir volé ses identifiants initiaux.
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Le nouveau gouvernement allemand veut interdire la reconnaissance faciale et la surveillance de masse
La coalition allemande de « feu tricolore » prévoit l’interdiction de la reconnaissance faciale biométrique ainsi que la restriction de l’utilisation des instruments de surveillance de masse, ce qui marque une rupture avec la position du précédent gouvernement.
Dans l’accord de coalition signé par les sociaux-démocrates allemands, les verts et le parti libéral FDP et présenté mercredi 24 novembre, les trois partis se sont engagés à interdire les technologies de reconnaissance faciale dans les espaces publics et à limiter au maximum l’utilisation des instruments de surveillance de masse.
« Nous rejetons la vidéosurveillance généralisée et l’utilisation de la biométrie à des fins de surveillance. Le droit à l’anonymat, tant dans les espaces publics que sur Internet, doit être garanti », peut-on lire dans l’accord.
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Reconnaissance faciale en France
La reconnaissance faciale s'immisce peu à peu dans nos vies, faisant craindre aux défenseurs de la vie privée de futures dérives, entre surveillance généralisée et autoritarisme. Technopolice propose un bilan de la situation en France.
Technopolice, qui présente un manifeste pour "résister à la surveillance totale de nos villes et de nos vies" signé par des organismes tels que la Ligue des droits de l'Homme, La Quadrature du Net, Framasoft, Attac ou encore le Syndicat des avocats de France, vient de publier un état des lieux de la reconnaissance faciale dans notre pays en 2021. L'idée étant de voir si, comme on l'entend souvent, la reconnaissance faciale n'est pas encore vraiment déployée en France, bien que le secrétaire d'État au numérique juge son installation nécessaire. Estimant qu'il n'y a pas de place à une reconnaissance faciale éthique et qualifiant la surveillance biométrique de masse d'outils de contrôle autoritaire dans l'espace public, Technopolice s'est évertué à lister où et quand la reconnaissance faciale est mise en place.
Des contrôles biométriques de plus en plus fréquents
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Mythes et réalités de l'authentification biométrique
Dépasser les idées reçues pour mieux sécuriser la finance
Les services financiers digitaux gagnent en importance - tous comme les cyber-risques qui les entourent. Dans ce contexte, l'authentification biométrique devient un moyen clé de sécurisation de l'expérience utilisateur - mais de nombreuses idées reçues aux sujets de ces technologies circulent. Comment les dépasser pour mieux sécuriser le monde de la finance ?
Dans un contexte marqué à la fois par l’accélération de l'adoption des services bancaires numériques et l’augmentation des risques qui les entourent, l'authentification biométrique gagne en importance en tant que moyen de vérification de l’identité numérique et de sécurisation de l’expérience utilisateur.
De nombreuses idées reçues circulent cependant au sujet des technologies biométriques. Cet article vise à aborder certains des arguments sceptiques les plus courants, et à démontrer en quoi l’adoption généralisée de la biométrie dans le secteur bancaire est une condition vitale face aux cybermenaces.
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Une reconnaissance faciale cryptée
De nombreux lieux de notre vie quotidienne sont scrutés en permanence par des dispositifs sécuritaires basés sur la reconnaissance faciale. (Photo d'illustration) © Getty Images - John Lund
Des chercheurs et ingénieurs français ont mis au point le premier dispositif de reconnaissance faciale entièrement crypté. L’objectif de ce système est de se conformer aux directives européennes du Règlement général de la protection des données qui n’autorise pas, sans son consentement, à identifier une personne en se servant de ses données biométriques.